Thursday, November 24, 2011

Cost of HIV/AIDS in Canada / Le coût du VIH/sida au Canada

Today we released a report on the economic impact of HIV/AIDS in Canada. With just over 3,000 new cases of HIV each year and an expense of $1.3 million in lifetime costs, we’re looking at a tab that is going up by over $4 billion per year. And while the cost includes some of the costs of “quality of life”, the facts remain that these costs are immeasurable.

The numbers are impressive, sure, and they make a great case for investment – prevent one case, save over a million in lifetime costs. And our efforts at prevention have kept the numbers stable. To me this is the ultimate case for investment in prevention research and prevention programs. We could have more HIV, each year the number of HIV positive people increases, a significant proportion of them don’t know it, so the conditions exist for the number to be on the rise, but we’re stemming the tide with prevention programs, and with messages targeted to populations most at risk. We are making the case for prevention every day.

The thing is HIV is preventable now; we just have to remember a few basic facts. The cool thing about this report is that it reminds us of these five conditions – and if you read any of the report, to me this is the important stuff:
  • There must be a source of infection: the virus must be present in certain bodily fluids, such as, blood, semen, vaginal fluid, or breast milk.
  • There must be a means of transmission: specific types of sexual activity, unclean needles (and other situations involving piercing of the skin), mother-to-child transmission (in uterus, during birth or breastfeeding) or blood transfusions.
  • There must be a host susceptible to infection: the virus is harmless until it finds susceptible cells within a host body. Every human being is considered to be a host susceptible to infection.
  •  There must be an appropriate route of entry to the target cells of the body: the HIV-susceptible cells must be reachable by infected blood, semen, vaginal fluid or breast milk. This usually happens via a break in the skin or through mucosal membranes of the body.
  • There must be a sufficient level of virus delivered to establish infection: because of a higher concentration of virus, some body fluids are efficient media for transmitting HIV (semen, vaginal fluid, blood, breast milk), while others are not (urine, saliva, tears). The viral load also plays a role in judging sufficiency of HIV(Canadian AIDS Society, 2005).
Remember this stuff. That is your “DO SOMETHING!” for today.
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Aujourd’hui, nous avons publié un rapport sur l’impact économique du VIH/sida au Canada. Avec un peu plus de 3 000 nouveaux cas de VIH par année, au pays, et une dépense de 1,3 million $ en coûts à vie, nous arrivons à une somme qui augmente de plus de 4 milliards $ par année. Et, bien que le montant estimé inclut certains coûts en « qualité de vie », le fait demeure que ces coûts ne peuvent être mesurés.

Les chiffres sont impressionnants, certes, et ils constituent un fort argument en faveur d’investissements — prévenir un cas de VIH, économiser plus d’un million de dollars en coûts à vie. Et nos efforts de prévention permettent de maintenir ces chiffres à un niveau stable. À mon sens, c’est le plus solide argument en faveur d’investissements dans la recherche sur la prévention et les programmes préventifs. Nous pourrions être aux prises avec un plus grand nombre de cas de VIH; le nombre de personnes séropositives augmente année après année; une proportion considérable de personnes séropositives ne sont pas au courant de leur infection; alors les conditions sont présentes pour que le nombre connaisse une hausse mais nous endiguons la vague à l’aide de programmes de prévention et de messages ciblant les populations les plus à risque. Chaque jour, nous démontrons le bien-fondé de la prévention.

Un fait demeure : on peut prévenir le VIH, et dès maintenant; on n’a qu’à retenir quelques faits élémentaires. Une chose centrale, dans ce rapport, est le rappel des cinq conditions nécessaires à la transmission du VIH — et si vous envisagez de lire ce rapport, à mon sens c’est là que se situe l’important :
  • Il doit y avoir une source d’infection : le virus doit être présent dans certains liquides corporels, comme le sperme, le liquide vaginal, le lait maternel ou le sang.
  • Il doit y avoir une voie de transmission : certains types de rapports sexuels, le partage d’aiguilles ou seringues (ou autres situations comportant une perforation de la peau), la transmission de la mère à l’enfant (dans l’utérus ou lors de l’accouchement ou de l’allaitement), ou la transfusion de sang.Il doit y avoir un hôte sensible à l’infection : le virus est inoffensif jusqu’à ce qu’il trouve des cellules susceptibles dans le corps d’un hôte. Toute personne est considérée comme un hôte sensible à l’infection.
  • Il doit y avoir une voie de pénétration adéquate jusqu’aux cellules que cible le VIH, dans le corps : les cellules susceptibles au VIH doivent être atteintes par un liquide corporel infecté (sang, sperme, liquide vaginal ou lait maternel). Ceci se produit habituellement par une fissure dans la peau ou par des membranes muqueuses dans des cavités du corps.
  • La quantité de virus transmis doit être suffisante pour causer l’infection : une concentration plus élevée de virus, dans certains liquides organiques (sperme, liquide vaginal, sang, lait maternel), fait d’eux des véhicules efficaces pour la transmission du VIH. Ce n’est pas le cas d’autres liquides organiques (comme l’urine, la salive ou les larmes). La charge virale influence la quantité de VIH présente dans les liquides véhicules.
Rappelez-vous ces choses. C’est votre point de la liste « AGISSONS », pour aujourd’hui!

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